Bercy est bien décidé à mettre un frein aux dépenses exorbitantes liées aux arrêts maladie, mais ils ont décidé d’ajouter une touche de fantaisie à cette mission digne d’un cirque.
Mais pourquoi diable cette obsession ?
Comment gérer son budget va tout passer au crible !
Les experts du ministère des Finances ont sorti leur calculette magique et prétendent pouvoir récupérer la modique somme de 10 milliards d’euros en taillant dans les dépenses de santé associées aux arrêts maladie. Franchement, ça les rend un peu nerveux tout ça ! Les arrêts maladie se multiplient plus vite que des clowns dans une voiture. 6,4 millions en 2012, et paf, on atteint 8,8 millions en 2022.
Bruno Le Maire, le ministre de l’Économie et des Finances, est à deux doigts de se demander si les gens n’ont pas subi une invasion de virus extraterrestres. Mais bon, à quoi bon chercher la logique quand on vit dans un monde où on nous demande de rester à la maison si on croise un chat noir un vendredi 13. Je parle bien sur du Covid ! L’absurdité a atteint des sommets !
Qu’est ce qui se trame ?
Le gouvernement est prêt à tout pour faire baisser ces chiffres. Ils sortent leur arme secrète : faire les poches des employeurs. Eh oui, tant qu’à chercher de l’argent, autant piquer celui des autres, c’est beaucoup plus fun.
Et ce n’est pas tout ! Pour ajouter du piquant à la vie des salariés, ils veulent imposer un jour de carence supplémentaire. Ouais, un jour où vous êtes censé être malade, mais sans être payé. n’est-ce pas une idée géniale ? Les travailleurs vont être aux anges ! Enfin, peut-être pas… En attendant que ces mesures farfelues soient mises en place, les contrôles des arrêts de travail se renforcent. Les inspecteurs sont à l’affût des petits malins qui se la coulent douce en regardant des séries toute la journée sans avoir besoin de médicaments. Faut pas prendre les gouvernants pour des jambons, hein !
Bercy prend cette quête de réduction des dépenses des arrêts maladie très au sérieux, mais au moins ils le font avec une bonne dose d’humour. Après tout, mieux vaut rire de tout cela que pleurer dans son mouchoir, non ? Allez, vivement le prochain numéro de ce spectacle ahurissant !
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