Dans cet article de comment gérer son budget, entre jonglerie budgétaire des maires, démissions en cascade, et la proposition malicieuse d’un “impôt résidentiel” pour tous, la scène fiscale prend des allures comiques. Une plongée dans cette saga où les maires réclament une nouvelle recette fiscale, mais le gouvernement ne semble pas prêt à rire. Accrochez-vous, car la gestion du budget local s’habille ici d’une teinte légère et d’une pointe d’humour fiscal. (source : econostrum.info)
Impôt Résidentiel : Les Maires en équilibre précaire financier et jonglerie politique
Les Français, bientôt confrontés à un impôt de résidence locale ? Les derniers potins du congrès de l’Association des maires de France (AMF) à Paris semblent le suggérer. Les maires, après avoir fait leurs adieux au bon vieux temps de la taxe d’habitation sur la résidence principale en janvier 2023, réclament avec un clin d’œil financier la naissance d’un impôt tout neuf, baptisé affectueusement “impôt résidentiel”, selon les dires de Capital.
Au cours de ce congrès mémorable, les maires ont jonglé avec les défis quotidiens, jonglant principalement avec la difficulté de remplir les tirelires de leurs communes. Murielle Fabre, secrétaire générale de l’AMF et maire de Lampertheim, a déclaré avec un sourire sarcastique : “En tant que maires, nous sommes les jongleurs du quotidien, entre crises climatiques, économiques et sécuritaires. Pas mal, non ?”
Dans la même veine humoristique, Philippe Laurent, maire de Sceaux (Hauts-de-Seine), a rappelé que depuis les élections municipales de 2020, 1 300 maires avaient préféré démissionner plutôt que de jongler avec “le contexte général” des communes.“C’est comme essayer de jongler avec des grenades, pas vraiment amusant”, a-t-il ajouté avec un sourire ironique.
Les maires craignent de perdre le contrôle de la situation des communes, notamment depuis la suppression de la taxe d’habitation sur les résidences principales. Gilles Leproust, maire d’Allonnes (Sarthe), s’exclame avec un air dramatique : “Cette réforme nous a rendus moins autonomes financièrement et plus dépendants de l’État. On est passés de maires à stagiaires en un claquement de doigts !
L’idée phare : un impôt de résidence applicable à tous les joyeux habitants d’une commune !
David Lisnard, le président de l’AMF, propose avec un sourire malicieux la création de l’impôt résidentiel. " Taxer uniquement les propriétaires, c’est comme organiser un festin et ne servir que des hors-d’œuvre. Inefficace et injuste, vous ne trouvez pas ?”, a-t-il déclaré récemment sur Public Sénat. Une démarche qui, selon lui, permettra aux communes de retrouver une marge de manœuvre financière tout en ajoutant un peu de piquant à la vie fiscale.
Le gouvernement, de son côté, n’est pas prêt à rire. Il s’oppose fermement à cette idée farfelue d’un nouvel impôt local, arguant que les Français ont besoin d’un peu de répit financier. Surtout, la priorité est de faire descendre les prélèvements obligatoires pour les ménages. “L’humour fiscal a ses limites”, a déclaré un porte-parole du gouvernement, visiblement peu enclin à entrer dans le jeu de mots.
Denier conseil de comment gérer son budget
Lorsque les débats fiscaux s’accélèrent, anticipez en restant informé. Les changements dans la gestion des impôts peuvent survenir plus rapidement que prévu. Soyez proactif, c onsultez régulièrement les actualités financières et politiques pour prendre des décisions éclairées. Une dose de prévoyance aujourd’hui pourrait vous éviter des surprises demain. Votez vite, mais surtout, votez en connaissance de cause pour sculpter l’avenir financier qui vous convient le mieux.